A saint-François, dans la section Baie-Olive, subsiste l'une de ces forêts.
Habitée et cultivée à partir de l'abolition de l'esclavage jusqu'au cyclone de 1928, aujourd'hui la nature semble y a retrouvé ses droits.
La zone est entaillée par une profonde ravine qui mène à la mer, l'anse de Baie-Olive. Cette ravine, grace à son inaccessibilité, est encore un refuge pour de nombreuses espèces animales et végétales.